FONTAINE DE L'OR (et FONT NEUVE)

 (et PUITS CARRE / Puids "Quarré" / Font Neuve)

> NATURE/CONSTRUCTION:

Bâtie en pierres de Bourg et de Bouchet, avec 4 cannelles de sortie en bronze, et plus tard avec un tuyau souterrain allant jusqu'au bord de la rivière avec un regard pour remplir d'eau les tonneaux des navires de la rade. Cette fontaine était alimentée par une machine hydraulique située à côté du puits qui distribuait lui aussi l'eau de la même source. 

> ÉTAT: Disparue.

Alimenter en eau potable les habitants des quartiers de Sainte Croix et Saint Michel, puis plus tard, fournir de l'eau aux navires à quai. Le nom de la "font de l'Or" venait de l'abondance en eau de cette source. Le nom "font Neuve" venait probablement du nom de la "Porte Neuve" non loin de là. Le nom de "Puids Quarré" venait sans doute de la forme de celui-ci.

Coordonnées GPS: 44.83387, -0.5621.

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=> la CARTE:

De toutes les améliorations qu'on méditait dans la seconde moitié du XV ème siècle à Bordeaux, celle de l'introduction en ville d'une bonne qualité d'eau potable paraissait aux yeux des Jurats la plus indispensable. Cette question était souvent discutée. On se plaignait de l'insalubrité de l'eau, on en désirait une plus saine et plus abondante.

 Aux XVI ème et XVII ème siècles, la ville s’enrichit de 2 fontaines essentielles : la fontaine Figueyreau (construite en 1574) et la Font-de-l’Or (sur le quai de La Grave/Monnaie) qui n’était originairement qu’un puits (rue Carpenteyre).


La source « Font de l’Or » était en très grande réputation comme l’indique son nom. Pierre Bernardau notait d’ailleurs : « Le nom brillant imposé à cette fontaine vient uniquement de l’abondance de sa source ; car les eaux qui en proviennent sont reconnues pour être les plus mauvaises de celles de Bordeaux » ☹. Elle était hors ville et on n’avait pas encore songé à en tirer les avantages qu elle devait offrir plus tard…



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 Ce fut en 1752, sous l’administration de M de Tourny, qu’un citoyen généreux, M. Pierre JOUIS, n’hésita pas à risquer son temps et sa fortune pour utiliser mieux qu’on avait fait jusque-là, les eaux abondantes de la source Font de l’Or. Eaux qui paraissaient venir des hauteurs de Talence et circuler sous les quartiers Saint Nicolas, Saint Michel et Sainte Croix, dans un banc de terrain calcaire qu’il fallait percer pour la trouver. 

A cette époque où de fortes murailles entouraient encore Bordeaux, pour la commodité des habitants, sur la nappe formée par ces eaux, on avait pratiqué un puisard à l’intérieur des remparts: le puits à l'angle de la rue Beyssac et de la rue Carpenteyre (au N°40 de la rue Carpenteyre) dit « Puids Quarré » ou « Font Neuve ». Ce puits mesurait 7 pieds de longueur, sur 5 pieds 3 pouces de largueur.

L’immeuble appartenant à la ville (confié en fermage au directeur qui logeait sur place) qui regroupait donc cette machine hydraulique, son réservoir et l’écurie pour les chevaux, se nommait alors « la tour du Croupet / tour de Bayssac / tour de Seguinet ». La "Tour de Croupet" fut cédée à la Ville le 18 Avril 1757 pour y établir le réservoir de la "Font de l'Or". Cette tour, propriété de Mme Marguerite Martin, était bâtie et annexée au mur de la Ville entre la porte de la Grave et celle de Sainte-Croix. La famille JOUIS reçut cette concession par la Ville.

A l’extérieur le trop plein de cette nappe s’écoulait sur le quai et se rendait dans la Garonne.

M. Jouis recueillit alors ces eaux qui se perdaient pour faire édifier en 1763 la fontaine de la Font de l’Or (à 50 mètres environ du "puids quarré"). Elle était située sur le terre-plein du quai de la Monnaie en face de la maison portant le numéro 21, sur un terrain qui a appartenu a M. Isard, constructeur de navires et négociant en mâtures.

Selon les clauses du traité signé par le sous-maire Dessenaud, cette fontaine devait avoir : "un corps de fontaine de 15 pieds en quarré dans le plafond, à côté duquel devait être fait un grand degré de 6 pieds de large, avec fronton de 15 pieds d'élévation sur 10 pieds de large. Avec au milieu, une table de marbre, de cuivre ou de fer, sur laquelle une inscription en lettres d'or devait être gravée. Le pourtour de cette fontaine devait en pierre de Bourg et le corps et couronnement en pierre de Bouchet. Au dessus du parapet, élevé de 2 pieds au dessus du sol environnent, devaient se trouver 4 cannelles de bronze" ("caneles" ou "caneres": tuyaux en gascon) . 

Près cette fontaine il fit construire une tour avec réservoir supérieur (citerne en plomb) dans lequel il éleva l’eau par une pompe aspirante à manège. D’abord mue par des hommes, puis remplacés par des chevaux (trois, dont deux la faisaient tourner). Ce fut la 1ère machine élévatoire de Bordeaux, copiée sur le manège de l’hospice de Bicêtre à Paris, composée de 12 chevaux se relayant par équipe de 4. (une écurie était aménagée au rez-de-chaussée)

Cette machine fabriquée et mise en service par Pierre JOUIS entre 1758 et 1763, fonctionna jusqu’en 1858. En 1834, elle débitait en moyenne 3,5L d’eau par habitant, ce qui était une quantité dérisoire par rapport aux besoins. JOUIS vendait ainsi son eau à des marchands d'eau qui desservaient les quartiers Sainte-Croix et Saint-Michel, et vendait même de grands fûts en terre ("jarres") auxquels un filtre avait été adapté.

=> Extrait du Domaine de la ville de Bordeaux par M. Lamothe.1764: "Domaine ne produisant pas de revenus: « La tour près la Fon-de-l'Or, dans laquelle est un réservoir et des machines élevant l'eau; écurie, grenier à loin, le tout d'une valeur de 6000 livres."

Machine de Jouis : Vue de face

Machine de Jouis : Vue de dessus

 La quantité d’eau était suffisante pour alimenter plusieurs fontaines situées sur le port, coulant 7 heures par jour, servant tant aux besoins des habitants et à l’approvisionnement des marins. Envoyé en octobre 1757 par Marigny, le fontainier du roi, Antoine LUCAS, établit entre 1759-1760 un réseau de canalisations vers la Font de l’Or, qui était ensuite redistribuée à plusieurs fontaines échelonnées le long des quais. C’est à cette époque qu’on remplaça pour la première fois les tuyaux en terre cuite venant de Sadirac (vernis en dedans) par des tuyaux en plomb. Au final la Font de l’Or alimentait :

 - 2 fontaines adossées à la porte « Bourgogne »/porte « des Salinières »

- 1 fontaine sur la Place du Palais,

- 1 fontaine sur la place Sainte Colombe

- 1 fontaine de la rue « de la Bourse » /rue « du Marché Royal »,

- 2 aux angles sud et nord de la place Royale (place de la Bourse)

- 2 fontaines du Quai des Chartrons : vis-à-vis les rues Raze et Borie,

- 2 fontaines du Marché des Chartrons,

- la fontaine de la Grave (réhabilitée),

 M de Tourny en profita pour alimenter la fontaine de la Grave construite sur les plans de M Bonfîn père. Cette dernière fontaine ayant été élevée au niveau du sol, fut alimentée non plus directement par la source mais par la machine Jouis.

Pierre JOUIS, à sa mort (le 8 mai 1783 à l’âge de 70ans), laissait sa veuve: la demoiselle Marguerite GOURIAC, chargée d’un fils et de 6 filles😊. Le 17 janvier 1763 il avait passé avec la Ville un traité, qui assura que l’entretien de la machine hydraulique devrait être donné à ses descendants.

Sous l’Empire, François, le fils Pierre JOUIS, modifia la machine d’élévation. Des réparations étaient nécessaires car un jeu dans le rouage diminuait de 50% le rendement déjà faible. Il fallut changer " les alluchons du rouet et de l’errisson, la brimbose, la branloire et plusieurs pièces de bois et de fer".

Le petit fils de Pierre JOUIS, Joseph, la transforma à son tour dans les années 1827-1834. Il remplaça la machine primitive par une autre tout aussi simple et tout aussi économique mais susceptible de faire jouer deux pompes au lieu d’une et d’alimenter les fontaines quatorze heures au lieu de sept. Établie d’après un système de plans inclinés, pour éviter les frottements et augmenter sa puissance, l’engin était disait-on, peu couteux d’entretien, robuste et solide car "l’emmanchement de ses parties présentait rien qui ne laissait à désirer". Il y avait un net progrès des pièces métalliques remplaçant celles en bois.

Le fils et le petit fils JOUIS gardaient secret le fonctionnement de la machine qu’ils surveillaient depuis la maison qui l’abritait (le père ayant obtenu le droit d’habiter dans ce bâtiment). Bien que techniquement le secret n’en était pas vraiment un, pendant plus d’une centaine d’années l’héritage du savoir et des biens a permis aux fils et petit-fils de gagner leur vie en offrant une faible quantité d’eau au public. Son débit s’avéra ainsi vite insuffisant, elle fut remplacée par des réservoirs et des usines au XIX ème siècle. Les réactions et les projets contre cette alimentation défectueuse furent nombreux.


 En 1763, les jurats voulant récompenser le fontainier qui avait imaginé cette machine, lui accordèrent le droit de conduire, par un tuyau souterrain, les eaux de cette source jusque sur le bord de la rivière, et d'y établir un regard, au moyen duquel il pourrait remplir d'eau les tonneaux que les navires de la rade devraient charger pour la provision de leurs équipages. (Notons au passage, que ces tonneaux pouvaient provenir notamment des ateliers des tonneliers non loin de là, dans la rue de la "Fusterie" où l'on fabriquait donc ces Fûts...)

Les marins venaient ainsi se ravitailler à la Font-de-l’Or qui se trouvait sur le port, entre la Porte-Neuve de la Monnaie et celle de la Grave. Toutefois, pour les navires, elle était la plus accessible et ces derniers étaient souvent obligés d’aller à l’aiguade sur la rive droite, à Lormont.

 Afin de faciliter l'opération, le fontainier reçut d'abord ces tonneaux autour de la fontaine, où il offrit de les nettoyer intérieurement, de les rebattre, et de les garder moyennant un léger salaire. Il les plaça ensuite sous un hangar construit dans un enclos qu'il ferma, puis complanta d'arbres. Il se prétendit propriétaire du local sur lequel il avait formé cet enclos. La mairie voulu le faire démolir, ainsi que les autres clôtures des chantiers de construction établis par tolérance dans cette partie du port. En 1842, un arrêt de la cour royale a débouté de ses prétentions le fontainier de la Font-de-l'Or, et l'a condamné à démolir son enclos.

 Projet de Mr Durand: Cette source, qui sert à l'approvisionnement des navires de la rade pour les voyages de long cours, jaillit à quelques pieds sous terre; et comme depuis quelques années elle a beaucoup baissé, et que son eau n'atteint plus aux canules de distribution à l'époque des fortes chaleurs, on y a placé une petite pompe à bras, au moyen de laquelle le public pourvoit à son approvisionnement journalier. Une pompe plus forte, et mue des chevaux, élève une portion du produit de cette source, qui est distribuée à plusieurs fontaines situées sur le port. Les eaux de la Font-de-l'Or sont viciées par les déjections qui s'infiltrent à travers le sol. Les eaux abondantes mais très moyennes en qualité, se troublent en période de fortes pluies.

 Le 23 janvier 1787, M. Buhan, procureur syndic, ayant réuni « le Corps de ville », dit que :

 « chargé par état de veiller sur tout ce qui a rapport à la conservation, à la santé et au bien-être des habitants; de rechercher, parmi les différents objets d'utilité publique, celui qui, par son importance, ou par des circonstances particulières, demande que l'Administration municipale s'en occupe plus promptement, il avait cru devoir arrêter son attention sur l'objet des fontaines, et qu'il s'était convaincu que le nombre de celles qui s'étaient établies à Bordeaux et dans les faubourgs est insuffisant; que leur produit est peu abondant; que dans certains temps, une grande partie ne fournit pas la plus petite quantité d'eau... ; que non seulement la quantité d'eau que Bordeaux reçoit n'est plus proportionnée au nombre et aux besoins de ses habitants, mais qu'encore les eaux de la Font-de-l'Or, qui servent aux Chartrons et à une partie de la ville, ont très probablement des qualités nuisibles; que le peuple souffre de ces défauts, soit de la quantité, soit de la qualité des eaux potables. Après cet exposé de la situation, M. le Procureur syndic rappelle que ces considérations ayant été précédemment développées à MM. les Jurats, ils ont cru devoir charger M. Villaris, chimiste, « d'analyser les eaux que la ville reçoit, et celles qui se trouvent dans la campagne avoisinante. »

 Il résulta du procès-verbal de cette analyse, que les eaux de la Font-de-l'Or étaient peu propres à l'usage des familles. Elles étaient d'une qualité inférieure, chargées de matières calcaires et d'une grande quantité de particules hétérogènes. L'eau était mauvaise et baissait sensiblement dans les grandes chaleurs. M. le Procureur syndic a donc cru devoir appeler en Jurade MM. Larroque, Bonfin, Thiac et Blanc, ingénieurs-géomètres de la ville, pour qu'il plût à MM. les Jurats de les prier de faire les recherches des différentes sources qui sont aux environs de Bordeaux; de rassembler tous les faits qu'ils croiront relatifs au projet d'établir dans la ville un nombre suffisant de fontaines; de tâcher de découvrir les meilleurs moyens d'exécution; enfin, de travailler à un Mémoire dans lequel ils exposeraient leurs vues propres à diriger MM. les Jurats vers le choix du parti le plus convenable.

Le Mémoire des experts fut déposé le 7 mai suivant. Résultat : Source de la Font-de-l'Or. 15 pouces, soit 3,33 litres par seconde.

Dès 1787, la "Font de l'Or" ne méritait plus son nom, car le débit de sa source avait beaucoup baissé. (A l'époque des fortes chaleurs, l'eau n'atteignait plus les canules de distribution. On avait placé sur la fontaine de l'Or une petite pompe à bras à l'aide de laquelle le public pouvait pourvoir à son approvisionnement quotidien.)

C’est vers le milieu du XIX ème siècle que le système de distribution d’eau potable de la ville de Bordeaux atteint ses limites. Au vu de l’augmentation démographique de la ville, le débit des sources devient insuffisant. A cela s’ajoute la dégradation de la qualité des eaux de source et de puits de la ville.

C’est en 1835 que Joseph Louis, Directeur de l’établissement hydraulique de la Font de l’Or, suggère de capter les eaux d’une source située au Taillan, entre les moulins du Thil et de Bussaguet. Messieurs Mary et Devanne se chargent de mettre en place le projet en 1841.

Onze ans plus tard, Louis Napoléon déclare d’utilité publique « les travaux de conduite et de distribution d’eau votés par la ville de Bordeaux ». L’aqueduc du Taillan fut mis en service en 1857.

Cet ouvrage, en maçonnerie constituée de moellons de 12 km de longueur, avait à l’époque un débit moyen de 250 m³ par heure et alimentait 400 bornes-fontaines, cinq fontaines monumentales et cinq fontaines Wallace.

Aujourd’hui, l’aqueduc du Taillan fonctionne toujours et aboutit à un réservoir de 13 000 m³ de la rue Paulin au cœur de Bordeaux et peut véhiculer 44 500 m³ par jour.

La fontaine de l’Or est demeurée sur le quai de la Grave jusque dans la moitié du XIX ème siècle et disparu par la suite. Le Puits Quarré de la rue Carpenteyre, quoique plus ou moins déformé dans la suite des temps, subsista encore un temps. La Municipalité reprit l'immeuble et en fit la cure de Saint-Michel. Le rez-de-chaussée et l'entresol furent convertis en poste de pompiers, et finalement, la maison du 21 Quais de la Monnaie fut transformée en bains-douches alimentés par les eaux de la source. La maison qui succéda à l'échoppe du 40 rue  Carpenteyre eut de grosses difficultés pour évacuer l'eau lors de la construction des fondation. La cave fut inutilisable à cause des infiltrations et le propriétaire dû même la faire combler par la suite.


 Au milieu du XV ème siècle, le quai entre les Salinières et la Manufacture commence à être occupé par des chantiers de construction. lls désertent Bacalan pour s'établir en Paludate.

Le 22 aout 1699, les Jurats concèdent à Jean Gélineau le jeune, maitre constructeur de vaisseaux, une place vide entre la porte Sainte Croix et les ateliers des marchands de radeaux, pour y dresser un atelier aux fins; de construire des vaisseaux ou barques ». Ces chantiers se multiplieront, bientôt au point de s'étendre de la Manufacture à la porte de la Grave, des deux côtés de la font de l'Or.

A l'occasion de l'arrêt du Conseil de 1704, des plans furent levés, on y voit :

- en face de la porte de la Grave, le bassin où échouent les barques à sel; entre celle porte et la font de l'Or, la cale des bourriers de la ville,

- en face de la font de l'Or, un quai. Et de ce quai à la porte Sainte-Croix, devant la ligne des maisons adossées au mur de ville, les chantiers de construction.


En 1770 on avait établi en rivière douze pontons de carénage, rangés sur deux lignes, entre la porte Bourgogne et la porte Sainte-Croix. En 1786, la Chambre de commerce en porta le nombre à 18 : on les déplaça et on les aligna Ie long de la côte de Bègles.

En 1802, les dépôts de vases étaient tels que l'arrière-port en était rendu impraticable. 

De 1803 à 1810, Brémontier redressa la rive entre l'estey Majou et la porte Bourgogne, avança le quai, agrandit les cales existantes entre la porte Bourgogne et la porte de la Grave, en établit de nouvelles à la porte Sainte-Croix, à la porte de la Monnaie et à la font de l'Or.


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ANECDOTES ET INFORMATIONS ANNEXES

> Ci-dessous quelques vues, où cette fontaine pourrait se deviner/se cacher...?

Ancien emplacement du Puits "carré" (état actuel)

Si aujourd’hui on trouve bien une référence dans Bordeaux "La Fontaine d'Or", ça n'a rien à voir du tout avec la "Font d'Or"... C'est un restaurant chinois au 58 Rue du Pas-Saint-Georges ...

  • Sources:
- ANALYSE CHIMIQUE DES EAUX DE LA GIRONDE par M.FAURE- inventaire des registres de la Jurade avant 1790 Serie C- Journal du GARB (Groupe des Aphasiques de la Région de Bordeaux) N° 42 bis 2016- JOURNAL DU PALAIS, JURISPRUDENCE FRANÇAISE.ANNÉE 1842- JURISPRUDENCE GÉNÉRALE DU ROYAUME.RECUEIL PÉRIODIQUE ET CRITIQUE DE LÉGISLATION, DE DOCTRINE ET DE JURISPRUDENCE EN MATIÈRE CIVILE, COMMERCIALE, CRIMINELLE, ADMINISTRATIVE ET DE DROIT PUBLIC.- le Viographe Bordelais, Revue Historique des Monuments de Bordeaux, par Mr Bernadau (1844)- EXAMEN d'un PROJET DE DISTRIBUTION D'EAU présenté à la Jurade de Bordeaux en 1787; PAR M. ORDINAIRE DE LACOLONGE.- UNE CHRONIQUE BORDELAISE INÉDITE - revue historique de Bordeaux Tome 11- EAUX PUBLIQUES EN GÉNÉRAL ET DE CELLES DE BORDEAUX EN PARTICULIER PAR M W MANES - Société archéologique de Bordeaux Bulletin et mémoires, Volumes 41 à 45- https://selene.bordeaux.fr/in/imageReader.xhtml?id=BordeauxJD_11369&pageIndex=1&mode=simple&selectedTab=record- Revue Historique de Bordeaux et du Département de la Gironde- Illustration d'Alfred JAUDOUIN- Archives de Bordeaux Métropole- Archives de la Petite Gironde- (Un pensée émue au regretté Jacky MARCHON qui m'a beaucoup aidé sur ce sujet...)

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> Création de la page & publication: 4 Mars 2018. Posté le même jour sous pseudo "Djé Karl" sur le groupe public Facebook Bordeaux Je Me Souviens: LIEN du post